Foire aux questions

Vous vous posez des questions concernant notre activité ? Vous souhaitez connaitre les avantages dun investissement viticole ? Ou quelle sont les régions les plu attrayantes dun point de vue investissement financier ? Quels sont les meilleurs terroirs, et quels sont-ils ? comment fonctionne notre activité, quels conseils nou pouvon vou apporter... Vous trouverez ci dessous quelques elements de réponses. Nous restons à votre écoute pour vous detailler notre fonctionnement.

FAQ

Cela peut être un projet de diversification patrimoniale. Même si la rentabilité d’une exploitation viticole est en général assez faible (1 à 3%), le prix du foncier ne cesse d’augmenter. Il augmente plus vite dans des appellations très prestigieuses (Saint-Émilion, Pomerol, Margaux, Pauillac, Pessac-Léognan, …) mais ces locomotives ont un effet d’entraînement sur le reste des vignobles bordelais. Pour l’avenir, les experts prédisent que la rareté des terroirs de qualité dans le monde, confirment la pertinence d’un tel placement. Bordeaux est le plus grand vignoble de vins fins du monde, sa notoriété est planétaire, et la demande ne faiblit pas.
Ceci, conjugué à l’attractivité grandissante de la métropole bordelaise, qui connaît une renaissance spectaculaire depuis 20 ans, rend un investissement dans une propriété bordelaise de plus en plus judicieux.
Chez Rustmann & Associés, nous sommes sollicités par des investisseurs avec des cahiers des charges et des motivations très diversifiés, par exemple :
- des familles ou des entreprises, déjà propriétaires de vignoble à Bordeaux et soucieux de s’agrandir ou d’établir leurs enfants
- des professionnels du vin d’autres régions qui souhaitent sécuriser leurs sources d’approvisionnement
- des investisseurs désireux de diversifier leur patrimoine
- des particuliers passionnés par le vin et qui réalisent le rêve de leur vie. Certains d’entre eux sont issus d’un tout autre secteur d’activité : il s’agit d’une reconversion professionnelle et d’un changement complet de vie, de région, de pays.
Quelle que soit la motivation, l’équipe de Rustmann & Associés, constituée de professionnels du milieu viticole bordelais, est à même d’accompagner et de conseiller au mieux ces investisseurs.

Ce n’est pas pour rien que Bordeaux est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2007.
En effet, il s’agit d’une ville avec une histoire particulièrement riche, un patrimoine architectural épargné par les guerres et magnifiquement mis en valeur, et surtout un nom magique, qui résonne aux quatre coins du monde. Depuis une vingtaine d’année et sous la houlette de son Maire Alain Juppé, Bordeaux a connu une effervescence et une dynamique de croissance exemplaires.
La ville figure en tête de tous les palmarès, et attire un nombre croissant de touristes ( plus de 6 millions chaque année), des professionnels de tous secteurs ainsi que près de 100.000 étudiants, grâces aux excellentes écoles et universités. La ville de Bordeaux est reconnue pour sa gastronomie, ses grands vins, ses musées, sa culture.
La nouvelle ligne TGV qui permet d’effectuer le trajet Bordeaux-Paris en 2h, la construction de la zone économique Euratlantique, et les 100 destinations au départ de l’aéroport, sont des facteurs supplémentaires d’attractivité. De plus, l'économie de Bordeaux est portée par des secteurs à fort potentiel technologique tels que l’aéronautique, l’industrie du laser et de la photonique, la chimie et la pharmacie, la e-santé.

Il serait impossible d’évoquer les vins de Bordeaux sans expliciter le terme de château viticole.
Le terme « château », dans le vignoble bordelais, désigne aussi bien l’exploitation viticole dans son intégralité que le bâtiment d’habitation de la famille propriétaire.
Mais les vignobles Bordelais ne possèdent pas tous un “Château” au sen architectural du terme. Certaines propriétés, ne possèdent aucune habitation, seulement les vignes et les bâtiments d’exploitation. D’autres ont une maison d’habitation simple ou plus imposante et luxueuse. Certaines, enfin, peuvent être dotées d’un véritable château, mais ce n’est pas le cas le plus fréquent.

Le terme terroir désigne un ensemble de facteurs naturels et humains.

Le premier facteur est le type de sol, de sous-sol (géologie, pédologie, hydrologie), l'espace géographique (topologie) et climatique (macroclimat, microclimat, effet millésime).
Le terroir prend également en compte les cépages et porte-greffes (botanique) qui caractérisent au final la qualité de la vendange. Enfin, le terroir intègre aussi, le travail du viticulteur qui doit tenir compte de tous ces éléments naturels pour conduire sa vigne et refléter au mieux les qualités de son terroir dans les propriétés organoleptiques des vins produits. La qualité d’un terroir se mesure à travers des analyses de sols, des cartographies et bien entendu la qualité des vins.

Un système typique de Bordeaux, qui consiste à vendre par anticipation, au printemps suivant la récolte, des vins dont l’élevage est encore en cours. Ce procédé consiste donc en une sorte de pré-réservation, puisque les vins ne seront mis en bouteilles et livrables qu’environ 18 à 24 mois plus tard, une fois leur élevage fini. Le temps d’une semaine, fin mars-début avril, les acteurs du monde du vin (acheteurs, courtiers, négociants, cavistes, journalistes, critiques…) convergent des quatre coins de la planète vers Bordeaux pour découvrir le millésime et en estimer sa qualité.
Au fil des dégustations de la semaine des Primeurs, directement dans les propriétés ou dans différents lieux de Bordeaux et alentours, les acheteurs se font leur opinion, prévoyant leurs achats, et la presse et les critiques du monde du vin attribuent des notations sur les vins. Dans les semaines qui suivent ces dégustations primeurs, ces notes, très attendues, influencent la fixation des prix de mise en marché des vins par les propriétés. Si ce tarif, généralement fixé dans les deux mois suivant la dégustation, tient donc compte de ces notes, il est aussi et surtout déterminé en fonction de la qualité du millésime, et de l’offre et de la demande qui en découlent.
Cette grande messe du vin perdure, parce que derrière les Primeurs se cache un avantage financier potentiel, particulièrement dans les millésimes qualitatifs, sujets à spéculation. Acquis à un tarif avantageux en Primeur, le vin pourra ensuite être revendu en espérant une plus-value non-négligeable.
La pratique des Primeurs est également intéressante pour les propriétés, qui font rentrer par anticipation de la trésorerie à réinvestir dans l’élevage des vins et la récolte suivante.

La SAFER est une administration dépendant du ministère de l’Agriculture français.
SAFER signifie Société d’Aménagement Foncier et d’Établissement Rural. Cette administration est chargée de superviser l’espace rural au-delà de 2500m2 lors d’une transaction. Elle peut si elle le souhaite, préempter le bien au prix convenu. En utilisant leur droit de préemption, le but est le plus souvent de regrouper des parcelles qui ont été dispersées au cours des ventes passées. C’est ce que l’on appelle le remembrement.
L’examen des transactions en cours prend généralement deux à quatre mois.

La rive gauche se trouve à l’Ouest de la Gironde et de la Garonne. Les deux principales régions qui la composent sont le Médoc, au nord de Bordeaux et les Graves, au sud. On y produit des vins rouges (dans le Médoc et dans les Graves) et des vins blancs (dans les Graves), ainsi que des vins liquoreux tout à fait au sud des Graves, dans la région de Sauternes. Le sol est surtout graveleux et le cépage dominant des vins rouges est le cabernet sauvignon, alors que les vins blancs sont surtout issus des cépages Sauvignon et Sémillon.
La rive droite se situe à l’Est de la Gironde et de la Garonne, de part et d’autre de la Dordogne.
Dans la partie au Nord de la Dordogne, on trouve les célèbres appellations Pomerol, Saint-Émilion (et ses « satellites », Fronsac. C’est également là que se situent les Côtes de Blaye, de Bourg (en bordure d’Estuaire), de Castillon et de Francs tout à l’Est du département de la Gironde.
Au Sud de la Dordogne, s’étend la vaste région de l’Entre-Deux-Mers, qui produit des vins rouges (Bordeaux et Bordeaux Supérieur, premières-côtes-de-Bordeaux, …) et des vins blancs secs (appellation Entre-Deux-Mers) et liquoreux (Cadillac, Loupiac, …).

En effet, les prix à l’hectare dans la région bordelaise varient de 20 000 euros à plusieurs millions d’euros. Cette différence de prix est considérable et s’explique par un ensemble de facteurs. Les Crus Classés, que ce soit en Médoc, à Pessac-Léognan ou à Saint-Émilion, jouissent d’une réputation mondiale. La demande est très forte et le prix de vente très élevé des vins, ce qui se reflète naturellement dans le prix du foncier. Pomerol, bien que ne bénéficiant pas d’un classement rentre dans cette catégorie. D’autres facteurs que la notoriété de l’appellation ou le classement affectent le prix à l’hectare :

-la présence ou non d’une habitation, voire d’un Château avec une architecture remarquable
-la qualité du terroir est bien entendu un critère primordial, qui à lui seul explique une grande partie du prix de vente. Cette qualité est difficile à apprécier pour un néophyte, et il convient de s’entourer des conseils d’experts en la matière.
- il faut aussi considérer l’exposition du vignoble, le fait qu’il soit d’un seul tenant ou morcelé,
-l’état d’entretien de la vigne, palissage, mode de culture, âge moyen des vignes, adaptation des cépages et des porte-greffes aux sols ;
-la qualité des bâtiments d’exploitation, leur niveau d’équipement et leur état général ;
-le besoin d’investissements à court ou moyen terme ;
-les ratios financiers de l’exploitation, prix de revient, prix de vente, circuits de distribution
- la qualité et le volume des stocks de vins de l’exploitation, qui font généralement l’objet d’une négociation séparée ;
- la notoriété des vins produits, commentaires de dégustation par les grands critiques mondiaux, présence dans les Guides des vins renommés. Etc.

Lors de l’entrée en négociation par le biais d’une lettre d’intérêt (LOI), il est généralement demandé à l’éventuel investisseur une lettre de confort d’un établissement bancaire renommé indiquant que celui-ci a les capacités financières pour poursuivre l’acquisition de son domaine viticole.